Types de fluides
En PIROBLOC comme spécialistes dans le dessin et la fabrication de chaudières de fluide thermique et des autres appareils qui utilisent ce type de fluide transmetteur de chaleur, nous a paru intéressant d’aborder à cette occasion ce sujet et vous donner à connaître plus données.
Tipes
- La majorité des fluides synthétiques accomplissent des fonctions spécifiques. Certains ont des problèmes étant donné la toxicité, le haut point de congélation ou la haute viscosité à basse température.
- Les huiles minérales accomplissent les conditions décrites ensuite, avec un rang d’application de températures de -10º C à 300º C et un index de viscosité dans le rang 0 -100 cSt.
Les demandes basiques de tout fluide sont les suivantes :
- Ils doivent être thermiquement stables à la température de travail.
- Il doit avoir un haut coefficient d’échange thermique.
- La pression de vapeur à la température de fonctionnement doit être faible pour que le système puisse travailler à température atmosphérique.
- Il doit avoir une basse viscosité pour favoriser un régime turbulent, et en même temps, la viscosité à basse température doit être suffisamment faible comme pour favoriser le démarrage en froid.
- Il ne doit pas être corrosif ni toxique.
- Il doit sûrement être et facile à utiliser.
Types de viscosité
Quant à la viscosité, celle-ci est considérée de deux points de vue : isoléement et par rapport à sa variation en ce qui concerne la température. Les huiles présentent des avantages respect aux autres fluides merci à leur meilleure relation viscosité/température, qui est exprimée en termes du Indice de Viscosité. Il s’agit d’une formule empirique calculée à partir des viscosités à 40º et à 100º C. : Une haute valeur signifie un petit changement de viscosité par rapport à la température.
Le point de congélation d’un fluide mesure la température à laquelle l’huile cesse de couler par simple gravité, important facteur par rapport au moment du démarrage et à ses propriétés à de basses températures. Pour réduire ce point, la majorité de fluides incorporent des additifs.
La densité est la masse par unité de volume. La densité est marquée en kg/l ou en g/ml par rapport à 15º C. La plupart des huiles ont des valeurs autour de 0.85 – 0.9.
La chaleur spécifique mesure la quantité de chaleur absorbée par unité de poids quand sa température augmentera un degré centigrade. Les huiles ont des valeurs comprises entre 0.45 et 0.70 dans le rang de température de travail habituel.
Le point d’inflammation est la température à laquelle, avec certaines conditions d’essai, une flamme appliquée à la surface d’une huile provoque l’ignition des vapeurs mais non une combustion continue. Il est très important de ne pas confondre cette température avec la température d’autoignition ou avec celle de combustion.
Le point de combustion est la température à laquelle, et une fois approximée une flamme ou une étincelle au fluide, en présence d’air comburent (oxygène), la flamme qui se forme se maintient au moins 5 seconds allumée. Les valeurs normales sont autour des 210º C.
Le point d’autoignition est la température minimale à laquelle le fluide thermique est allumé par lui-même, sans présence de flamme ou étincelle qui entame la combustion. On a besoin logiquement de présence d’air comburent.
Par conséquent, la température à considérer devant un éventuel fuite de fluide thermique est la température d’autoignition. La fuite serait nécessaire, puisque sans elle, il n’y a pas de l’oxygène dans le circuit et par conséquent, même si les températures atteindraient le point d’autoignition en circuit fermé, une combustion ne serait pas possible.
Nos produits
Pour tout cela, la probabilité d’un incendie dans une installation de fluide thermique PIROBLOC, est pratiquement nulle. La bonté de cette affirmation est authentifiée par la législation en vigueur en Espagne, qui considère aux fluides thermiques comme LIQUIDES NON INFLAMMABLES (Bulletin Officiel de L’État, BOE nº 120, du 20/5/82).
En référence à nos circuits de fluide thermique, en étant fermés et ne pas exister présence d’oxygène dans le même, une combustion ou incendie est impossible, à moins qu’il y ait une fuite.
Fluides thermiques du marché
Dans le tableau suivant nous pouvons observer les températures caractéristiques des principaux fluides thermiques du marché. Il peut être observé que la température maximale de service (indiquée par le fabricant) et les températures d’inflammation et autoignition ne gardent pas une relation directe.
- Densité à 15 ºC: 0,880 kg/l
- Viscosité à 40 ºC: 20 cSt
- Viscosité à 100 ºC: 4,5 cSt
- Indice de viscosité: 80/90
- Point inflamation P.M.: 180 ºC
- Point de congelation: -45 ºC
- Chaleur spécifique 50 ºC: 0,48
Dans notre prochain nombre, nous continuerons avec ce sujet et nous nous fixerons spécialement dans les huiles blanches (ces inconnus pour tant d’utilisateurs).
Carles Ferrer est ingénieur industriel diplômé de l’Université de Barcelone. Il est le directeur commercial de Pirobloc et a participé au développement de projets de fluide thermique dans plus de 80 pays.